testosterone

C’est bien notre propos, ici, sur augmentertestosterone.com, de fournir aux lecteurs des moyens clairs et pertinents de s’informer sur la testostérone, ses effets, et sur les différents moyens de booster la quantité de cette hormone dans notre organisme afin d’en retirer un maximum de bénéfices.

Reprenons donc quelques bases, avec une question qui à l’air bête au premier abord :
« La testostérone, qu’est-ce-que c’est ? ».
C’est l’hormone qui va me transformer en bête de salle et de sexe. Oui…mais encore ?

La Testostérone, hormone stéroïdienne

La testostérone est une hormone stéroïdienne du groupe des androgènes.
Elle est sécrétée par les testicules essentiellement, mais aussi par les glandes surrénales et quelques autres tissus. Elle est également présente chez la femme, où elle est sécrétée par les ovaires.
Il s’agit de la principale hormone sexuelle mâle, et du stéroïde anabolisant originel. Ça donne l’eau à la bouche n’est-ce-pas?

La testostérone est responsable, à la puberté, de l’apparition des caractéristiques sexuelles primaires (augmentation de la taille des organes reproducteurs : testicules, pénis et prostate) et secondaires ( pilosité corporelle, augmentation de la masse musculaire, désir sexuel, maturation de la voix, augmentation de la lipolyse…).
Elle fait partie, comme nous l’avons déjà dit, du groupe des androgènes, qui rassemble en outre DHT, DHEA, androstenedione et androstenediol.

Comme les autres hormones stéroïdes, c’est est un dérivé du cholestérol. En effet le cholestérol est transformé, grâce à différents processus physiologiques, en pregnenolone.
Cette substance est ensuire convertie soit en progestérone, puis en androstenedione et enfin en testostérone; soit en DHEA, puis en androstenediol et enfin en testostérone.
Cette dernière est produite dans les testicules par les cellules de Leydig. Elle est amenée aux tissus cibles par le sang, dans lequel elle se lie à une protéine de transport : la SHBG.

Testostérone Liée et Testostérone Libre

Il existe au sein du corps un équilibre entre la portion de testostérone qui se fixe sur la protéine SHBG et celle qui reste libre.
Il a été découvert qu’entre 96 et 98% de la testostérone totale se lie à une protéine, et ce pour trois raisons.

Premièrement cela permet à la testostérone de devenir soluble et d’être transportable par le sang.
Deuxièmement cela va la protéger de la dégradation par le foie et les reins.
Troisièmement elle va être stockée pour pallier aux fluctuations.
Au final il reste entre 2 et 4% de testostérone libre dans l’organisme, substance bioactive qui a la capacité d’interagir avec les cellules et provoquer des changements physiologiques.

C’est de cet infime pourcentage de testostérone libre que proviennent les bénéfices en termes de croissance musculaire.

La régulation du taux de cette hormone dans le corps est gouvernée par deux facteurs : la quantité totale de testostérone dans le sang, et la capacité à lier des protéines plasma.
Ainsi plus la capacité des protéines à se lier à la testostérone augmente, plus le taux de cette dernière libre dans le sang diminue.
C’est la raison pour laquelle on peut trouver sur le marché de la nutrition sportive de nombreux compléments destinés à réduire la capacité des protéines à lier la testostérone.

Qui dit plus de testostérone libre, dit plus d’influence sur les cellules, et plus de bénéfices.
Mais le taux de testostérone dans le sang dépend également d’autres raisons. En effet, il résulte d’un équilibre dynamique entre sa biosynthèse et sa biodégradation, qui est un processus normal, rappelons-le.

Les testicules, les glandes surrénales, et les ovaires chez les femmes, sont en charge de la biosynthèse de la testostérone; tandis que le foie et les reins sont responsables de sa biodégradation et de son excrétion.
Pour illustrer cette codépendance toujours en mouvement, prenons l’exemple d’un entraînement de musculation particulièrement intense.
L’augmentation du taux de testostérone plasma observé est le résultat à la fois de l’augmentation de la production de testostérone par les testicules liée à l’exercice, et de la diminution de sa suppression (due à la baisse de la circulation sanguine dans les reins et le foie pendant l’exercice).

Facteurs influant sur le taux de Testostérone

effets-d-un-taux-trop-bas-de-testosterone

Cet exemple de l’aspect changeant du taux de testostérone dans l’organisme vient éclairer la difficulté qu’il peut y avoir à connaître son propre taux de cette hormone.
Un homme adulte produit environ 7mg de testostérone par jour, et une femme 40 à 60 fois moins (c’est à dire entre 0.17 et 0.11mg).
Mais de nombreux facteurs influent sur cette production, et les niveaux de cette hormone dans le sang varient pendant la journée.
On sait par exemple qu’il y a des pics de testostérone le matin. Un bon moment pour prévoir un entraînement, pourquoi pas ?
On sait aussi que le sommeil contribue à la régénération de ses réserves, tout comme un manque de sommeil peut avoir des influences négatives. On comprend bien alors l’utilité d’ajouter à son booster, une formule ZMA, qui va favoriser un sommeil réparateur et donc un taux optimal de cette hormone.
Le stress influence également le taux de cette substance dans le sang, négativement cette fois, car la hausse de la sécrétion de cortisol vient faire diminuer sa production.
Certains nutriments, comme le zinc ou la vitamine D, jouent un rôle important dans la production de testostérone, ainsi que l’équilibre alimentaire entre les lipides, les glucides et les protéines.
L’alcool et les pesticides vont quant à eux avoir un effet dévastateur sur la production de cette hormone, d’où l’importance d’une alimentation saine, variée, la plus naturelle possible, issue de l’agriculture biologique dans l’idéal.

Enfin, attention au surentraînement ! Le mieux est parfois l’ennemi du bien, et c’est encore une fois le cas pour la testostérone !
Quand une activité physique régulière et intense favorise l’hormone, le surentraînement épuise et fait s’effondrer les taux ! On se croirait presque à la bourse…on en est pas loin en termes de physiologie en tout cas !!

Les Effets de la Testostérone

Grâce à un bon booster, éventuellement un ZMA, un bon programme d’entraînement ainsi qu’une alimentation équilibrée et appropriée, vous allez pouvoir augmenter votre taux de testostérone et profiter des nombreux bénéfices qu’offre cette hormone !
Elle participe à la formation d’un sperme fonctionnel, à l’épaisseur de la peau, à l’augmentation de la libido, à une diminution de la décomposition du glycogène musculaire pendant l’exercice, augmente la rétention du calcium par les os.

Elle  provoque aussi une augmentation du métabolisme, du nombre de globules blancs dans le sang, et bien sûr une hausse de la synthèse des protéines c’est à dire de la prise de muscle.
Par contre, elle va également stimuler l’activité des glandes sébacées, ce qui est à l’origine des poussées d’acné, et faire baisser la pousse des cheveux.

En tant qu’adepte de la musculation, une augmentation du taux de testostérone, en plus d’une prise de masse musculaire plus élevée, va provoquer un gain de force, une hausse de la densité osseuse, une meilleure résistance à l’insuline ainsi qu’un meilleur contrôle du taux de masse grasse dans le corps.
Un bon niveau de cette hormone dans le sang va aussi réduire le taux de glucose, faire baisser la tension artérielle et participer à la prévention de l’obésité.

Savoir bien gérer son booster de testostérone

Mais avant de vous lancer dans une supplémentation en testostérone, pensez tout de même à respecter quelques règles de base.

  • Une supplémentation en cette substance vitale n’est pas recommandée chez les adolescents et les jeunes adultes ;
  • Avant toute chose, renseignez-vous sur le sujet, en étant vigilants quant à la fiabilité de vos sources d’informations. (Un fabriquant de booster vous dira toujours que son produit est le meilleur et le plus inoffensif, pensez à rechercher des sources scientifiques par exemple) ;
  • Commencez votre supplémentation avec des dosages très bas afin de tester votre tolérance aux effets secondaires ;
  • Utilisez les boosters de testostérone par cycles de 2 à 4 semaines de supplémentation, suivis du double de temps de repos de votre organisme ;
  • Prévoyez une analyse sanguine pour déterminer votre sensibilité aux effets de l’augmentation de cette hormone, changements dans vos taux de cholestérol ou dans le fonctionnement de votre foie par exemple ;
  • Enfin, arrêter tout supplément si les effets secondaires sont importants.